Masochiste [adjectif et nom masculin] : personne qui recherche la souffrance, l’humiliation, ou qui s’y complaît, y trouve du plaisir.
Tromper quelqu’un sur la marchandise [expression] : s’utilise littéralement dans le secteur commercial pour signifier que le produit acheté est d’une qualité inférieure à celle annoncée. Par analogie, la locution s’utilise pour évoquer l’écart entre le contenu (une vaste fumisterie) et le résultat d’une promesse faite à quelqu’un (retomber en enfance, être comme un gosse, admettre de ne pas réfléchir le temps d’un film qui en mettrait plein les yeux).
Caca [nom masculin] : nom familier et terme enfantin pour désigner les excréments dont dérivent caca boudin, caca prout et caca d’oie. Synonymes : crotte, ordure, chose sale, matières fécales, grosse commission…
Foutage de gueule [expression] : expression familière, voire grossière, qui fait référence à l’expression "se foutre de la gueule de quelqu’un" et qui s’emploie pour désigner une moquerie ou du dédain vis-à-vis d’autrui.
Indigence [nom féminin] : état de pauvreté intellectuelle, morale.
Nullité [nom féminin] : absence de toute qualité, notamment d’intelligence, de compétence chez quelqu’un. Caractère de ce qui manque de valeur, de mérite.
Désastre [nom masculin] : catastrophe, événement funeste ; grand malheur, dégâts qui en résultent. Ruine, échec total sur le plan artistique, économique, social, littéraire, professionnel, personnel, etc.
Dénaturer [verbe transitif] : altérer un goût, une saveur, une nostalgie délicieusement surannée par exemple ; fausser le sens de quelque chose, en modifier la nature.
MonsterVerse [expression] : tentative médiocre de se réapproprier les sagas Godzilla et King Kong.
Godzilla vs Kong [film, mais on n'en est pas vraiment sûr] : bouse, navet, croûte, nanar… Plus généralement, désigne un machin où se fourvoient pas mal d’acteurs et d’actrices ; où ce qui tient lieu de scénario, pourtant écrit par cinq scénaristes, n’est qu’une suite d’inepties et d’invraisemblances ; où les personnages ne sont rien d’autre que des idées, des prétentions de personnages, des clichés principalement (des méchants, des gentils, what else?) ; où sur cent cinq minutes de film montées n’importe comment, à peine dix sont consacrées aux combats entre les Titans alors qu’on ne voulait que ça, cent cinq minutes de castagne dantesque, de destruction massive sans explications foireuses et atermoiements insipides ; où l’abêtissement est tel qu’il finit par transformer le film en concept, une abstraction, une entité difforme qui aurait sa propre vie au-delà de l’univers, mais plus sûrement dans un trou noir ou au fond des chiottes.