Ô mon robot 3/7 - 2008 [Critique rédigée par Magusneri ] Sur Blade runner , Terminator et Robocop Q ue reste-t-il du cinéma américain des années 80 dans la mémoire de nos rétines ? Pour nombre d’entre nous, une vague de films commerciaux grand public...
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Il faut, évidemment, se préparer à l’épreuve, encore qu’Alexandre Sokourov reste un artiste du sérail (cinéma d’auteur puissance mille adoubé par une critique à tendances intellectuelles) un peu plus "accessible", un peu plus engageant, par exemple, que...
Lire la suiteLa part des anges
QUOI ?! Un prix du jury à Cannes pour ce truc stérile et tout mignon ? C’est une blague ? Et le Audiard, et le Carax, et le Reygadas, et le Resnais (rires) ? Et puis quelle valeur ça donne, rétrospectivement, à Mort à Venise, La reine Margot, N’oublie...
Lire la suiteAdieu Berthe - L'enterrement de mémé
Mémé is dead, mémé vient de casser sa pipe, éteinte comme une ampoule dans son sommeil, la Berthe, pif, pouf, pschittt. Du coup, Armand, petit-fils petit bourgeois et pharmacien de son état, va devoir s’occuper de l’enterrement de mémé (et honorer sa...
Lire la suiteWoody et les robots
Ô mon robot 2/7 - 2008 [Critique rédigée par Stebbins] Robots après tout (le reste) E st-il une filmographie moins technologique, moins cybernétique et moins robotique que celle de Woody Allen ? Cinéaste particulièrement actif et régulier (sortant en...
Lire la suitePrometheus
Presque trente ans avant que le Nostromo n’atterrisse sur LV-426 et trente après la sortie d’Alien, voici donc son prequel tant attendu et soutenu par une campagne marketing gigantesque qui n’aura épargné absolument personne (jusqu’aux rats dans le métro...
Lire la suiteCosmopolis
Quelques mois seulement après l’anodin A dangerous method, revoilà déjà David Cronenberg avec l’adaptation du roman culte de Don DeLillo, Cosmopolis, odyssée en limousine à travers un magma cyber-capitaliste dont les tyrannies financières se craquellent...
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