Il ne manque quasi rien à l’affaire : les paillettes, les perruques, les robes satinées, les faux ongles, les talons aiguilles, des travestis forts en gueule avec un cœur gros comme ça et des vieux standards de divas cubaines à la voix grave et exaltée...
Lire la suiteThe strangers
Il est balèze, Na Hong-jin, il est balèze parce qu’il arrive à se renouveler tout en proposant quasi le même film à chaque fois. Le même en terme de construction scénaristique. Le même en terme de tension qui s’emballe, se déchaîne jusqu’à nous laisser...
Lire la suiteMalgré la nuit
Parfois les peaux sont blanchies par une lumière violente, et Paris n’est qu’un amas de ténèbres, et les personnages sont des statures, des manières, des archétypes, il y a des prénoms aussi, tout du long, qui se frôlent, qui s’échangent d’un rien presque...
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