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2019 : Des chiens et des hommes

Vous reprendrez bien une grosse part de top, non ? Voici les dix films (en tout cas les miens. Et non : Too old to die young n'est pas une série, mais bien un film de treize heures) qui auront marqué cette année cinéma.
 

Top du top

2019 : Des chiens et des hommes

1 / Dogs don't wear pants : "Love story mi-hardcore mi-cathartique, Dogs don’t wear pants sublime douleur et chagrin en un désir de renouveau. Une magnifique histoire de deuil et de solitude, d’insoutenable gravité de l’être transfigurés par la pratique BDSM". [Lire la critique]

2 / The lighthouse : "Moins âpre et troublant que The witch, mais plus expressif dans la manifestation de la folie qui s’empare de deux gardiens de phare, The lighthouse confirme le talent de Robert Eggers à renouveler les canons du genre de l’horreur et de l’épouvante". [Lire la critique]

3 / Parasite : "Bien malin celui qui parviendra à savoir où Bong Joon-ho, à mi-parcours et après avoir patiemment mis en place une mécanique scénaristique qui ne demande plus qu’à s’emballer, a décidé de nous mener tant les perspectives narratives sont inattendues et multiples". [Lire la critique]

4 / Joker : "Film de peu d’action, Joker offre une descente aux enfers schizophrénique qui mènera à la naissance d’un des méchants les plus emblématiques de la pop culture. C’est ce parcours quasi inéluctable, écrit d’avance, que Phillips met patiemment (et brillamment) en scène". [Lire la critique]

5 / Midsommar : "Midsommar multiplie les niveaux de lecture, alterne les sensations et les genres. Un machin inclassable, assurément. Un film malade, selon l’expression, qui sur presque deux heures trente nous embarque dans un long trip cauchemardesque". [Lire la critique]

2019 : Des chiens et des hommes
2019 : Des chiens et des hommes

1 / Jessica forever : "Un bidule ni fait ni à faire où pas un seul des partis pris revendiqués ne fonctionne : des dialogues (creux) réduits au minimum mais semblant traduire chez les deux réalisateurs un manque d’inspiration, un rythme mal fichu, une linéarité banale". [Lire la critique]

2 / Domino : "On a beau être indulgent, indulgent parce que c’est Brian De Palma, Domino n’a absolument rien à nous offrir à quelque niveau que ce soit. Et il n’y a pas d’autres mots qui le caractériseraient mieux que navet, catastrophe et infamie". [Lire la critique]

3 / The dead don't die : "Jim Jarmusch, qui pourtant avait su s’approprier western, samouraï et suceurs de sang, peine dans The dead don’t die à rattacher son univers au folklore du mort-vivant. Pas assez d’inspiration, ou d’honnêteté à comprendre que son scénario ne fonctionne pas". [Lire la critique]

4 / Ad astra : "Le film de James Gray n’est qu’un pensum sur l’héritage filial et l’amour qui nous sauvera tous, traité sans pertinence ni profondeur. Dans ce long voyage vers Neptune d’un homme à la rencontre d’un père absent, Gray n’a visiblement pas grand-chose à nous raconter". [Lire la critique]

5 / Chambre 212 : "Malgré ses écarts poétiques, voire surréalistes (le sosie de Charles Aznavour qui s’invite à la chose), le film fait affreusement toc, affecté, et reste figé dans sa construction désespérément binaire". [Lire la critique]

2019 : Des chiens et des hommes
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